Trois ans après le début de la guerre en Ukraine, l’inflation s’est stabilisée, mais les prix restent très élevés et les consommateurs russes doivent se serrer la ceinture.
« Je n’achète ni pommes de terre, ni cerises »: à Moscou, les consommateurs russes trouvent les prix « délirants » (mais ne le disent pas trop fort)
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